Jules Dalou - Expertise et Estimation gratuite de votre Sculpture
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Info : 1838 - 1902
Jules Dalou montre très jeune des dons pour le modelage et le dessin, ce qui lui vaut l’attention de Jean baptiste Carpeaux lequel le fait entrer en 1852 à la Petite École, future ecole nationale supèrieure des beaux arts où il suit les cours d'Horace Lecoq.
En 1854 il est admis à l'école des beaux arts où il étudie la peinture dans l'atelier d'Abel de Pugol et la sculpture dans l'atelier de Duret. Il commence à gagner sa vie en travaillant pour des ornemanistes. C'est chez l'un d'eux que débute son amitié avec Auguste Rodin. Paris est alors en pleine mutation, Dalou se forge une expérience en travaillant dans les grands chantiers de la capitale en se formant à l’architecture et à la décoration des immeubles sur les grandes avenues parisiennes : à ce titre il participe à la décoration de l'hôtel de La Païva. Il travaille également pour l'atelier d’orfèvrerie des frères Fannière.
Il se présente quatre fois au concours duPrix de Rome et est refusé à chaque fois. Il en conçoit de la rancœur envers les institutions artistiques officielles.
Il présente au Salon de 1869v un Daphnis et Chloé et au Salon de 1870 La Brodeuse. Ces deux pièces sont acquises par l'État.
Durant ces années obscures de formation, Dalou épouse Irma Vuillier, une femme de fort caractère qui le soutiendra toute sa vie. Le couple n’a qu’un enfant, Georgette, une fille née avec un handicap mental qui nécessite, jusqu’à sa mort pendant la Première Guerre mondiale, la présence à ses côtés d’un adulte responsable. C’est pour cela que Dalou lèguera son atelier à l' Orphelinat des arts ; ainsi les chercheurs disposent-ils actuellement de plus de 300 œuvres achetées par la ville de Paris à l’orphelinat en
Aux lendemains de la semaine sanglante de mai 1871, Dalou, sa femme et leur fille sont menacés en tant que Communards, contraints à l'exil et demandent le droit d'asile. Le 6 juillet de la même année, ils peuvent rejoindre l'Angleterre et sont accueillis par son ancien condisciple de la Petite École, le peintre et graveur Alphonse Legros.
À Londres les premières années sont difficiles mais grâce à l'aide bienveillante que lui apporte Legros, très introduit à la City, il réalise une série de statuettes en terre cuite inspirées par les paysannes boulonnaises ou par des sujets intimistes (Liseuse,Berceuse), et des portraits de l'aristocratie anglaise. À la fin de 1874 Dalou trouve un emploi de professeur de modelage à la National Art training. Son influence sera déterminante auprès des sculpteurs britanniques de la New Sculpture. Il reçoit commande d’une fontaine publique appelée Charity (1877) près du Royal Exchange à Londres, et d'un monument pour la reine Victoria dédié à ses petits-enfants situé dans la chapelle privée de Frogmore au château de Windsor.
Pendant cet exil, le gouvernement français choisit d'envoyer en 1876 le bronze de La Brodeuse dans sa sélection officielle de la France pour l'exposition internationale de Philadelphie. Mais malgré toutes les propositions qui lui sont faites par ses confrères anglais, il refuse d'exposer dans la section anglaise du Salon en France, ne voulant pas être abrité par un drapeau étranger dans son propre pays.
Le 1er mai 1874, le 3e Conseil de guerre de Paris le condamne aux travaux forcés à perpétuité par contumace pour ses fonctions d'officier dans la Commune et son poste d'administrateur adjoint du Louvre. Ayant refusé de demander grâce, ce n’est qu’en mai 1879, après avoir été amnistié sous la présidence Jules Grévy que Dalou et sa famille rentrent enfin d’exil.
Dalou retourne en France après avoir concouru pour une statue monumentale de la République destinée à la place de la république à Paris. L’envoi de Dalou ne correspondant pas aux critères requis, le jury choisit finalement le projet des frères Morice. Cependant son groupe Le triomphe de la république est commandé par la municipalité pour être érigé sur la place du Trône, renommée place de la nation en 1880. Dalou consacrera vingt ans à la réalisation de ce monument.
Les années 1881 et 1882 sont difficiles, pendant cette période il reprend une activité de sculpteur-décorateur pour l'ornemaniste Cruchet. Il collabore à plusieurs occasions avec le céramiste Ernest Chapelet mais le Salon de 1883 le révèle enfin au grand public français. Il y expose les plâtres de ses deux haut-reliefs : La Fraternité des Peuples(également connu sous le titre la République) et Mirabeau répondant à Dreux - Brézé, pour lequel on lui remet la médaille d'honneur. Aujourd'hui et le bronze du Mirabeau répondant à Dreux-Brézé, achevé en 1890, acquis par l'État, orne la salle Casimir-Perier du Palais Bourbon à Paris.
Fuyant le monde et vivant en famille, Dalou se livre à un labeur considérable. En hommage au peintre dont il admire l'œuvre, Il exécute le Monument à Eugène Delacroix au luxembour (1890). Il conçoit un projet de Monument à Victor Hugo au Panthéon (1886), un projet de Monument à la Justice pour le Palais Bourbon (1892), et un projet de Monument aux Orateursdestiné au Panthéon (1896-1898), tous les trois non réalisés.
On lui commande les gisants d'Auguste Blanqui (1885) et de Victor Noir (1890), le médaillon en bronze de Charles Amouroux (1885) visibles au cimetière du Père-Lachaise.
Il nous fait sentir toute son admiration pour la peinture de Rubens dans son groupe du Triomphe de Silène placé au jardin du Luxembour (1885). La ville de Paris lui commande la statue d'Antoine Lavoissier pour le grand amphithéâtre de la Sorbonne (1887), la fontaine de La Bacchanale du jardin des serres d'Auteil (1895-1898), la statue de La Chanson à l'Hôtel de ville qui reproduit les traits de la chanteuse Yvette Guilbert (1895).
Parmi les nombreux bustes qu'il produit après son retour en France, on peut citer ceux de Charcot (1884), Auguste Vacquerie (1885),Gustave Courbet (1890), Albert Liouville (1890), Mademoiselle Gilardi (1890), Jean Gigoux (1900), et Marie Laurent (inachevé, 1901).
Pour l'Exposition universelle de 1889, dite Exposition du Centenaire, on inaugure sur la place de la Nation le plâtre (teinté couleur bronze) du groupe allégorique Le triomphe de la République commandé par la ville de Paris en 1879. Bien que la version bronze du groupe ne fût inaugurée qu'en 1899, cette œuvre remporte le grand prix de sculpture de l'exposition.
Dalou quitte laSociété des artistes français en 1890 pour exposer désormais à la Soci"été nationale des beaux arts , dont il est membre fondateur avec Ernst Meissonier, Auguste Rodin et Puvis de chavanne.
Nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1883, puis promu officier par le président Carnot en 1889, il est élevé au grade de commandeur du même ordre en 1899 par le président Loubet lors de l'inauguration de son monument du Triomphe de la République.
Il n'aura pas le temps de mener à bien son dernier grand projet, un Monument aux Travailleurs (ou Monument aux Ouvriers), dont l'idée lui vient en 1889 au lendemain de la première inauguration du Triomphe de la République. Le formalisme de la cérémonie et les défilés militaires avaient tenu le peuple à l'écart de cette manifestation officielle. Dalou en avait été déçu. Fidèle à son idéal républicain, il eut souhaité que cette inauguration soit l'occasion d'une grande fête populaire et démocratique (ce qu'elle fut lors de l'inauguration du bronze en 1899). Son idée est de rendre un hommage au monde des ouvriers, des artisans et des paysans en leur dédiant cette œuvre dont ils constituent le sujet central. À la fin de sa carrière il décrit ce projet en ces termes : « Je crois avoir enfin trouvé le monument aux Ouvriers que je cherche depuis 1889. La disposition générale tiendrait de l'insigne de Priape, Dieu des Jardins, emblème de la création, de la borne, berceau et tombe du pauvre, enfin du tuyau de l'usine, prison où se passe sa vie. Sobre, sans moulure ni ornement, je désire qu'il ait l'aspect grave et imposant, s'il se peut, que le sujet comporte. L'exécuterai-je ? Là est la question. Je suis bien âgé et de plus ma santé est bien débile ». Les nombreuses esquisses de ce monument trouvées dans son atelier après son décès sont maintenant conservées au Petit Palais. La statue du Grand paysan(vers 1897-1902, Paris, musée d'Orsay préfigure, à une échelle moindre, les personnages qu'il projetait de placer dans les seize niches entourant la colonne, le tout devant mesurer 32 mètres de haut.
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Info : 1838 - 1902 |
Jules Dalou montre très jeune des dons pour le modelage et le dessin, ce qui lui vaut l’attention de Jean baptiste Carpeaux lequel le fait entrer en 1852 à la Petite École, future ecole nationale supèrieure des beaux arts où il suit les cours d'Horace Lecoq.
En 1854 il est admis à l'école des beaux arts où il étudie la peinture dans l'atelier d'Abel de Pugol et la sculpture dans l'atelier de Duret. Il commence à gagner sa vie en travaillant pour des ornemanistes. C'est chez l'un d'eux que débute son amitié avec Auguste Rodin. Paris est alors en pleine mutation, Dalou se forge une expérience en travaillant dans les grands chantiers de la capitale en se formant à l’architecture et à la décoration des immeubles sur les grandes avenues parisiennes : à ce titre il participe à la décoration de l'hôtel de La Païva. Il travaille également pour l'atelier d’orfèvrerie des frères Fannière.
Il se présente quatre fois au concours duPrix de Rome et est refusé à chaque fois. Il en conçoit de la rancœur envers les institutions artistiques officielles.
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Durant ces années obscures de formation, Dalou épouse Irma Vuillier, une femme de fort caractère qui le soutiendra toute sa vie. Le couple n’a qu’un enfant, Georgette, une fille née avec un handicap mental qui nécessite, jusqu’à sa mort pendant la Première Guerre mondiale, la présence à ses côtés d’un adulte responsable. C’est pour cela que Dalou lèguera son atelier à l' Orphelinat des arts ; ainsi les chercheurs disposent-ils actuellement de plus de 300 œuvres achetées par la ville de Paris à l’orphelinat en
Aux lendemains de la semaine sanglante de mai 1871, Dalou, sa femme et leur fille sont menacés en tant que Communards, contraints à l'exil et demandent le droit d'asile. Le 6 juillet de la même année, ils peuvent rejoindre l'Angleterre et sont accueillis par son ancien condisciple de la Petite École, le peintre et graveur Alphonse Legros.
À Londres les premières années sont difficiles mais grâce à l'aide bienveillante que lui apporte Legros, très introduit à la City, il réalise une série de statuettes en terre cuite inspirées par les paysannes boulonnaises ou par des sujets intimistes (Liseuse,Berceuse), et des portraits de l'aristocratie anglaise. À la fin de 1874 Dalou trouve un emploi de professeur de modelage à la National Art training. Son influence sera déterminante auprès des sculpteurs britanniques de la New Sculpture. Il reçoit commande d’une fontaine publique appelée Charity (1877) près du Royal Exchange à Londres, et d'un monument pour la reine Victoria dédié à ses petits-enfants situé dans la chapelle privée de Frogmore au château de Windsor.
Pendant cet exil, le gouvernement français choisit d'envoyer en 1876 le bronze de La Brodeuse dans sa sélection officielle de la France pour l'exposition internationale de Philadelphie. Mais malgré toutes les propositions qui lui sont faites par ses confrères anglais, il refuse d'exposer dans la section anglaise du Salon en France, ne voulant pas être abrité par un drapeau étranger dans son propre pays.
Le 1er mai 1874, le 3e Conseil de guerre de Paris le condamne aux travaux forcés à perpétuité par contumace pour ses fonctions d'officier dans la Commune et son poste d'administrateur adjoint du Louvre. Ayant refusé de demander grâce, ce n’est qu’en mai 1879, après avoir été amnistié sous la présidence Jules Grévy que Dalou et sa famille rentrent enfin d’exil.
Dalou retourne en France après avoir concouru pour une statue monumentale de la République destinée à la place de la république à Paris. L’envoi de Dalou ne correspondant pas aux critères requis, le jury choisit finalement le projet des frères Morice. Cependant son groupe Le triomphe de la république est commandé par la municipalité pour être érigé sur la place du Trône, renommée place de la nation en 1880. Dalou consacrera vingt ans à la réalisation de ce monument.
Les années 1881 et 1882 sont difficiles, pendant cette période il reprend une activité de sculpteur-décorateur pour l'ornemaniste Cruchet. Il collabore à plusieurs occasions avec le céramiste Ernest Chapelet mais le Salon de 1883 le révèle enfin au grand public français. Il y expose les plâtres de ses deux haut-reliefs : La Fraternité des Peuples(également connu sous le titre la République) et Mirabeau répondant à Dreux - Brézé, pour lequel on lui remet la médaille d'honneur. Aujourd'hui et le bronze du Mirabeau répondant à Dreux-Brézé, achevé en 1890, acquis par l'État, orne la salle Casimir-Perier du Palais Bourbon à Paris.
Fuyant le monde et vivant en famille, Dalou se livre à un labeur considérable. En hommage au peintre dont il admire l'œuvre, Il exécute le Monument à Eugène Delacroix au luxembour (1890). Il conçoit un projet de Monument à Victor Hugo au Panthéon (1886), un projet de Monument à la Justice pour le Palais Bourbon (1892), et un projet de Monument aux Orateursdestiné au Panthéon (1896-1898), tous les trois non réalisés.
On lui commande les gisants d'Auguste Blanqui (1885) et de Victor Noir (1890), le médaillon en bronze de Charles Amouroux (1885) visibles au cimetière du Père-Lachaise.
Il nous fait sentir toute son admiration pour la peinture de Rubens dans son groupe du Triomphe de Silène placé au jardin du Luxembour (1885). La ville de Paris lui commande la statue d'Antoine Lavoissier pour le grand amphithéâtre de la Sorbonne (1887), la fontaine de La Bacchanale du jardin des serres d'Auteil (1895-1898), la statue de La Chanson à l'Hôtel de ville qui reproduit les traits de la chanteuse Yvette Guilbert (1895).
Parmi les nombreux bustes qu'il produit après son retour en France, on peut citer ceux de Charcot (1884), Auguste Vacquerie (1885),Gustave Courbet (1890), Albert Liouville (1890), Mademoiselle Gilardi (1890), Jean Gigoux (1900), et Marie Laurent (inachevé, 1901).
Pour l'Exposition universelle de 1889, dite Exposition du Centenaire, on inaugure sur la place de la Nation le plâtre (teinté couleur bronze) du groupe allégorique Le triomphe de la République commandé par la ville de Paris en 1879. Bien que la version bronze du groupe ne fût inaugurée qu'en 1899, cette œuvre remporte le grand prix de sculpture de l'exposition.
Dalou quitte laSociété des artistes français en 1890 pour exposer désormais à la Soci"été nationale des beaux arts , dont il est membre fondateur avec Ernst Meissonier, Auguste Rodin et Puvis de chavanne.
Nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1883, puis promu officier par le président Carnot en 1889, il est élevé au grade de commandeur du même ordre en 1899 par le président Loubet lors de l'inauguration de son monument du Triomphe de la République.
Il n'aura pas le temps de mener à bien son dernier grand projet, un Monument aux Travailleurs (ou Monument aux Ouvriers), dont l'idée lui vient en 1889 au lendemain de la première inauguration du Triomphe de la République. Le formalisme de la cérémonie et les défilés militaires avaient tenu le peuple à l'écart de cette manifestation officielle. Dalou en avait été déçu. Fidèle à son idéal républicain, il eut souhaité que cette inauguration soit l'occasion d'une grande fête populaire et démocratique (ce qu'elle fut lors de l'inauguration du bronze en 1899). Son idée est de rendre un hommage au monde des ouvriers, des artisans et des paysans en leur dédiant cette œuvre dont ils constituent le sujet central. À la fin de sa carrière il décrit ce projet en ces termes : « Je crois avoir enfin trouvé le monument aux Ouvriers que je cherche depuis 1889. La disposition générale tiendrait de l'insigne de Priape, Dieu des Jardins, emblème de la création, de la borne, berceau et tombe du pauvre, enfin du tuyau de l'usine, prison où se passe sa vie. Sobre, sans moulure ni ornement, je désire qu'il ait l'aspect grave et imposant, s'il se peut, que le sujet comporte. L'exécuterai-je ? Là est la question. Je suis bien âgé et de plus ma santé est bien débile ». Les nombreuses esquisses de ce monument trouvées dans son atelier après son décès sont maintenant conservées au Petit Palais. La statue du Grand paysan(vers 1897-1902, Paris, musée d'Orsay préfigure, à une échelle moindre, les personnages qu'il projetait de placer dans les seize niches entourant la colonne, le tout devant mesurer 32 mètres de haut. |
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Comment faire estimer gratuitement une sculpture, un un bronze ?
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Voici quelques éléments nécessaires à l’estimation gratuite de vos tableaux et dessins anciens, antiquités, objets d’Asie, meubles anciens, livres et gravures etc ...
Présence d’une signature La signature du peintre présente des analogies avec la présence de l’estampille dans l’ébénisterie et la menuiserie. Il faut attendre l’année 1743 pour que l’estampille se généralise sur les meubles. Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, selon les nouveaux règlements de la corporation, la marque individuelle de l’ébéniste doit figurer avec la marque collective de la corporation.
Jusqu’à la renaissance, les oeuvres sont souvent anonymes et il faut attendre la seconde moitié du XVIII ème siècle avec le développement du marché ainsi que la création des salons officiels de peinture et de sculpture pour voir apparaitre des oeuvres signées et datées. François Boucher ou Joseph Vernet, peintres à la mode au 18 ème siècle utilisent leur nom pour valoriser leur travail. On assiste alors la construction d’une identité artistique par la présence d’une signature ou d’un monogramme.La forme cursive s’impose et se rapproche de la signature manuscrite de l’artiste. Parfois, avec la signature de l’artiste et la date on peut lire pinxit, delineavit, fecit, faciebat ou invenit. Mais c’est au XIX ème siècle que la signature devient un élément essentiel d’appréciation de l’oeuvre en jouant un rôle dans l’évaluation financière et dans l’authentification. Parfois dissimulées dans la composition, elle peut apparaitre sous forme d’un monogramme accompagné d’une date et d’une localisation. La présence d’une signature ou d’un monogramme sur une toile ancienne, d’une estampille sur une commode ou un siège ne rend pas l’oeuvre authentique car rien n’est plus simple que d’imiter une signature ou une estampille; seul l’expérience et l’oeil d’un expert permet de déterminer si les marques et signatures sont authentiques.
Les dimensions de votre oeuvre Les dimensions de votre tableau sont essentielles pour l’estimation de votre oeuvre; veuillez nous communiquer les dimensions « hors cadre » de votre peinture. Pour l’estimation d’une sculpture, veuillez nous communiquez la hauteur ainsi que la longueur du socle.
La description de votre oeuvre Veuillez nous communiquer tous les éléments en votre possession concernant la provenance : - Achat en vente aux enchères, chez un antiquaire, succession, don… - Le titre de l’oeuvre - Les expertises déjà réalisées (assurance, héritage) - Tous éléments susceptible de nous aider dans l’évaluation
Les photos de votre oeuvre Pour permettre à nos experts de vous communiquer une estimation réaliste, quelques conseils pour prendre les photos de votre oeuvre : - Prendre votre peinture, vitre sculture de face - La signature en plan large - Des détails de votre oeuvre. - Le dos du tableau et toutes mentions manuscrites et étiquettes d’expositions.
Restaurations anciennes L’état de conservation est un élément essentiel d’appréciation d’un tableau, d’une oeuvre d’art. Il faut identifier les restaurations anciennes, les repeints. Il faut aussi s’assurer qu’il s’agit ou non de la toile d’origine (rentoilage, transposition etc).
Présence de vernis Le vernis est en une résine naturelle transparente parfois teinté avec des pigments naturels. Auparavant, il était fabriqué à partir de résine naturelle et jouait un rôle esthétique et protecteur de l’oeuvre; il ravive les couleurs, accentue la profondeur et protège l’oeuvre des poussières, de la lumière excessive et des polluants.
Avec le temps, le vernis jaunie mais son rôle est essentiel dans la conservation des tableaux anciens.
L'encadrement de l'oeuvre Le cadre fait partie intégrante de la peinture, et il joue un rôle essentiel dans la mise en valeur de celle - ci. Il permet également de protéger la peinture contre les dommages. Les cadres anciens du 17 ème et du 18 ème sont sculptés et dorés. Au 19 ème, ils sont moulés et décorés d’éléments en stuc ou plâtre.
• Comment sont déterminées les estimations d'une sculpture ancienne, un bronze moderne ?
Notre spécialiste va estimer votre photo en la comparant dans un premier temps à des oeuvres similaires déjà présentées et vendues dans une vente aux enchères en France.
Puis avec l’ensemble des éléments fournis (nom de l’artiste, présence d’une signature, dimensions de l’oeuvre, état de conservation), nous pourrons analyser votre tableau, votre peinture, votre objet d’art et sous 48h, vous recevrez par mail une première estimation gratuite de vos objets d’art et de collection.
Nos spécialistes ont bien évidemment une parfaite connaissance des mécanisme du marché de l’art
• Dois-je me déplacer avec une sculpture ancienne, un bronze moderne pour obtenir une estimation ?
Dans un premier temps, faites nous parvenir le formulaire d’estimation gratuite en ligne pour une évaluation confidentielle de vos tableaux et peintures anciennes dans les plus brefs délais.
Envoyez-nous vos photos à partir de votre ordinateur ou de votre téléphone.
Si vos photos sont trop nombreuses ou trop lourdes, envoyez nous directement votre demande en cliquant sur ce lien contact@art-estimation-bordeaux.com
• Quel est le coût d'une estimation d’une sculpture ancienne, d'un bronze moderne ?
L’estimation de vos photos anciennes anciennes est totalement gratuite mais il ne vous sera délivré aucun document écrit.
Les valeurs communiquées sont donc indicatives et elles ne peuvent, en aucun cas, être reproduites, diffusées ou utilisées à toutes fins. D’autre part, cet avis est donné sous réserve d’une expertise visuelle des objets d’art concernés.
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Comment faire expertiser gratuitement une sculpture ancienne, un bronze moderne ?
Pour confirmer l’estimation qui vous a été communiquée par mail par notre service d’estimation, il faut procéder à l’analyse visuelle de vos objets d’art.
• Comment notre expert réalise t’il l’expertise visuelle d’une œuvre d’art ?
L’expert qui sera en charge de l’estimation de vos objets d’art et de collection doit se munir d’outil comme une loupe éclairante, une lampe de Wood pour mettre en évidence une signature apocryphe, des restaurations anciennes, des repeints etc...
D’autre part, l’expert doit aussi s’appuyer sur une documentation spécifique : catalogues raisonnés de chaque artiste, publications universitaires, travaux de recherches, catalogues de vente aux enchères. Parfois, un déplacement dans une fondation, dans une bibliothèque s’avère nécessaire pour consulter des ouvrages rares (Fonds patrimoniaux).
Il peut également consulter les sources disponibles sur Internet sur les bases de données des musées nationaux, des galeries d’art ou des fondations étrangères.
• Dois-je me déplacer avec une sculpture ancienne, un bronze moderne pour faire procéder à une expertise ?
Nous pouvons vous recevoir chaque jour sur rendez-vous à notre bureau de Bordeaux situé 1 rue Ducau - 33000 Bordeaux (Tél. 05 56 48 01 80) pour une expertise gratuite et confidentielle.
Si vous ne pouvez pas vous déplacer ou transporter les oeuvres concernées, nous pouvons nous charger du transport des oeuvres.
Nous pouvons également effectuer un déplacement à votre domicile (sous conditions).
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Notre expérience du marché, la parfaite connaissance des procédures d’authentification nous permettent d’authentifier les oeuvres soumises et obtenir auprès des comités les certificats nécessaires à la mise en vente de vos tableaux, sculptures, antiquités asiatiques et objets d’art.
N'hésitez pas à nous contacter afin de assister pour l'expertise et la mise en ventes de vos peintures, sculptures et objets de collection
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Comment vendre au meilleur prix une sculpture ancienne, un bronze moderne ?
Correspondant de l'Etude TAJAN depuis 20 ans, Alexis Maréchal, expert en antiquites et objets d'art, se tient en permanence à votre disposition, pour expertiser gracieusement et en toute confidentialité les tableaux, sculptures, antiquites, objets d'arts et livres anciens que vous souhaitez vendre. Assisté de l'équipe de commissaires-priseurs et d'experts de TAJAN, il vous propose un service d'estimation personnalisé dans une vingtaine de spécialités et peut répondre chaque jours à toutes vos demandes en utilisant le formulaire en ligne de demande d'estimation gratuite. Après évaluation, nous pourrons vous proposer une solution adaptée pour vendre vos tableaux, vos antiquités et vos objets d'art dans les meilleures conditions. • Première étape : Demandez une estimation préalable de vos biens, d'après photographies. Pour réaliser une estimation gratuite, veuillez utiliser le formulaire en ligne de demande d'estimation gratuite
• Deuxième étape : Dépôt des oeuvres pour expertise approfondie. Si vous prenez la decision de nous confier à la ventes les objets estimés, une expertise visuelle s'impose, avant. Pour cela, il vous suffit de déposer les objets à notre bureau.
• Troisième étape : Mise en vente aux enchères de votre objet d'art et de collection. Une fois l'expertise réalisée, nous déterminons une date de vente, en fonction du calendier des ventes aux enchères à venir.
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