Hippolyte Bayard - Expertise et Estimation gratuite de votre Photographie
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Info : 1801 - 1887
Dans les années 1830 à Paris, le milieu intellectuel et artistique est agité par les fameuses expériences menées par Daguerre, créateur du Diorama. Celles-ci font suite aux avancées de Niépce, avec qui il s'était associé en 1829 mais qui décéda subitement en 1833. En 1835, des informations commencent à circuler sur un procédé que Daguerre aurait réussi à mettre au point pour fixer l'impression lumineuse dans une camera obscura.
Comme beaucoup d'autres, Bayard, qui s'intéresse à la peinture, se lance dans l'expérimentation. La première idée de génie de cet homme méthodique consiste à consigner ses avancées dans un cahier d'essais. On peut ainsi suivre sa progression dans la maîtrise de la sensibilité, avec l'apparition de vagues formes qui se précisent d'essais en essais jusqu'à ce qu'on y reconnaisse les statues qui lui servent de modèles.
Bayard invente d'abord un procédé photographique de négatif sur papier. Puis, en mars 1839, il met au point un procédé lui permettant d'obtenir des positifs directs sur papier. L’image positive se forme par l'exposition dans la chambre noire d’une feuille de papier préalablement sensibilisée. Comme les daguerréotypes, les images obtenues par Bayard sont des pièces uniques ne pouvant être reproduites. En juillet 1839, Bayard présente la première exposition de photographies de l'histoire. Il contribue à une opération de bienfaisance en présentant une trentaine de vues de natures mortes et d'architecture. Le Journal Le constitutionnel est enthousiaste :
« ... ce qui excite le plus vif enthousiasme, ce sont les dessins photogéniques que l’auteur, M. Bayard, intitule modestement essais, et qu’il obtient sur papier à l’aide de la chambre noire par un procédé nouveau autre que celui de M. Daguerre. Nous ne sommes point compétens pour juger le mérite intrinsèque du procédé de M. Bayard et pour le comparer au procédé de M. Daguerre. Mais le résultat obtenu par M. Bayard est d’une finesse exquise, d’une harmonie, d’une douceur de lumière que la peinture n’atteindra jamais sans doute. »
Un mois avant la reconnaissance officielle du daguerréotype, Bayard a donc déjà une maîtrise suffisante de son procédé pour en faire des démonstrations remarquées. Le 11 novembre 1839, il dépose à l'Académie des sciences, qui l'enregistre, un paquet cacheté « procédé de photographie sur papier ». Mais il est trop tard.
La France revendique pleinement l'invention de la photographie en soutenant haut et fort la paternité de Daguerre, mais le procédé mis au point par Bayard diffère profondément. L'Académie des Sciences est embarrassée par cette deuxième invention. Arago, promoteur de Daguerre et de son procédé, ne l'encourage pas. Bayard se tourne alors vers l'Académie des beaux arts qui le reçoit mieux, mais sans le soutenir véritablement. Entre temps, l'Anglais Fox Talbot a inventé un procédé de négatif-positif, supérieur à celui de Bayard, qui se voit relégué au deuxième plan.
En juin 1839, Bayard reçoit 600 francs de l'État français pour s'équiper en matériel photographique (alors qu'une rente annuelle de 10 000 francs au total est versée à Jacques Daguerre et à Isidore Niépce, le fils de Nicéphore). En février 1840, il révèle sommairement en quoi consiste son procédé permettant d'obtenir un positif direct dans une lettre à l'Académie des sciences. Mais le daguerréotype est en plein essor, Bayard ne fera ouvrir le paquet cacheté qu'il a déposé en 1839 à l'Académie des sciences qu'en février 1841, à l'occasion d'une dispute de priorité avec Talbot, et son apport reste méconnu.
Bayard décide alors de se noyer, mais uniquement, et c'est là sa deuxième idée de génie, « photographiquement ». En octobre 1840, il se met en scène en noyé sur une photographie au dos de laquelle il écrit :
« Le cadavre du Monsieur que vous voyez ci-derrière est celui de M. Bayard, inventeur du procédé dont vous venez de voir ou dont vous allez voir les merveilleux résultats. À ma connaissance, il y a à peu près trois ans que cet ingénieux et infatigable chercheur s'occupait de perfectionner son invention. L'Académie, le Roi et tous ceux qui ont vu ces dessins que lui trouvait imparfaits les ont admirés comme vous les admirez en ce moment. Cela lui fait beaucoup d'honneur et ne lui a pas valu un liard. Le gouvernement qui avait beaucoup trop donné à M. Daguerre a dit ne rien pouvoir faire pour M. Bayard et le malheureux s'est noyé. Oh ! instabilité des choses humaines ! Les artistes, les savants, les journaux se sont occupés de lui depuis longtemps et aujourd'hui qu'il y a plusieurs jours qu'il est exposé à la morgue personne ne l'a encore reconnu ni réclamé. Messieurs et Dames, passons à d'autres, de crainte que votre odorat ne soit affecté, car la figure du Monsieur et ses mains commencent à pourrir comme vous pouvez le remarquer. »
En 1840, un an à peine après l'invention officielle de la « photographie » qui allait devenir l'instrument de reproduction du réel, Bayard inventait avec humour la « fiction photographique ».
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Info : 1801 - 1887 |
Dans les années 1830 à Paris, le milieu intellectuel et artistique est agité par les fameuses expériences menées par Daguerre, créateur du Diorama. Celles-ci font suite aux avancées de Niépce, avec qui il s'était associé en 1829 mais qui décéda subitement en 1833. En 1835, des informations commencent à circuler sur un procédé que Daguerre aurait réussi à mettre au point pour fixer l'impression lumineuse dans une camera obscura.
Comme beaucoup d'autres, Bayard, qui s'intéresse à la peinture, se lance dans l'expérimentation. La première idée de génie de cet homme méthodique consiste à consigner ses avancées dans un cahier d'essais. On peut ainsi suivre sa progression dans la maîtrise de la sensibilité, avec l'apparition de vagues formes qui se précisent d'essais en essais jusqu'à ce qu'on y reconnaisse les statues qui lui servent de modèles.
Bayard invente d'abord un procédé photographique de négatif sur papier. Puis, en mars 1839, il met au point un procédé lui permettant d'obtenir des positifs directs sur papier. L’image positive se forme par l'exposition dans la chambre noire d’une feuille de papier préalablement sensibilisée. Comme les daguerréotypes, les images obtenues par Bayard sont des pièces uniques ne pouvant être reproduites. En juillet 1839, Bayard présente la première exposition de photographies de l'histoire. Il contribue à une opération de bienfaisance en présentant une trentaine de vues de natures mortes et d'architecture. Le Journal Le constitutionnel est enthousiaste :
« ... ce qui excite le plus vif enthousiasme, ce sont les dessins photogéniques que l’auteur, M. Bayard, intitule modestement essais, et qu’il obtient sur papier à l’aide de la chambre noire par un procédé nouveau autre que celui de M. Daguerre. Nous ne sommes point compétens pour juger le mérite intrinsèque du procédé de M. Bayard et pour le comparer au procédé de M. Daguerre. Mais le résultat obtenu par M. Bayard est d’une finesse exquise, d’une harmonie, d’une douceur de lumière que la peinture n’atteindra jamais sans doute. »
Un mois avant la reconnaissance officielle du daguerréotype, Bayard a donc déjà une maîtrise suffisante de son procédé pour en faire des démonstrations remarquées. Le 11 novembre 1839, il dépose à l'Académie des sciences, qui l'enregistre, un paquet cacheté « procédé de photographie sur papier ». Mais il est trop tard.
La France revendique pleinement l'invention de la photographie en soutenant haut et fort la paternité de Daguerre, mais le procédé mis au point par Bayard diffère profondément. L'Académie des Sciences est embarrassée par cette deuxième invention. Arago, promoteur de Daguerre et de son procédé, ne l'encourage pas. Bayard se tourne alors vers l'Académie des beaux arts qui le reçoit mieux, mais sans le soutenir véritablement. Entre temps, l'Anglais Fox Talbot a inventé un procédé de négatif-positif, supérieur à celui de Bayard, qui se voit relégué au deuxième plan.
En juin 1839, Bayard reçoit 600 francs de l'État français pour s'équiper en matériel photographique (alors qu'une rente annuelle de 10 000 francs au total est versée à Jacques Daguerre et à Isidore Niépce, le fils de Nicéphore). En février 1840, il révèle sommairement en quoi consiste son procédé permettant d'obtenir un positif direct dans une lettre à l'Académie des sciences. Mais le daguerréotype est en plein essor, Bayard ne fera ouvrir le paquet cacheté qu'il a déposé en 1839 à l'Académie des sciences qu'en février 1841, à l'occasion d'une dispute de priorité avec Talbot, et son apport reste méconnu.
Bayard décide alors de se noyer, mais uniquement, et c'est là sa deuxième idée de génie, « photographiquement ». En octobre 1840, il se met en scène en noyé sur une photographie au dos de laquelle il écrit :
« Le cadavre du Monsieur que vous voyez ci-derrière est celui de M. Bayard, inventeur du procédé dont vous venez de voir ou dont vous allez voir les merveilleux résultats. À ma connaissance, il y a à peu près trois ans que cet ingénieux et infatigable chercheur s'occupait de perfectionner son invention. L'Académie, le Roi et tous ceux qui ont vu ces dessins que lui trouvait imparfaits les ont admirés comme vous les admirez en ce moment. Cela lui fait beaucoup d'honneur et ne lui a pas valu un liard. Le gouvernement qui avait beaucoup trop donné à M. Daguerre a dit ne rien pouvoir faire pour M. Bayard et le malheureux s'est noyé. Oh ! instabilité des choses humaines ! Les artistes, les savants, les journaux se sont occupés de lui depuis longtemps et aujourd'hui qu'il y a plusieurs jours qu'il est exposé à la morgue personne ne l'a encore reconnu ni réclamé. Messieurs et Dames, passons à d'autres, de crainte que votre odorat ne soit affecté, car la figure du Monsieur et ses mains commencent à pourrir comme vous pouvez le remarquer. »
En 1840, un an à peine après l'invention officielle de la « photographie » qui allait devenir l'instrument de reproduction du réel, Bayard inventait avec humour la « fiction photographique ». |
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Comment faire estimer gratuitement mes photographies anciennes ?
• Quels sont les critères que les experts utilisent pour vous communiquer une estimation ?
Voici quelques éléments nécessaires à l’estimation gratuite de vos photographies anciennes.
Présence d’une signature Il faut s'assurer de l'authenticité de la signature présente sur vos photos anciennes; seul l’expérience et l’oeil d’un expert permet de le déterminer.
Les dimensions de votre oeuvre Les dimensions de votre photographie ancienne sont essentielles pour l’estimation; veuillez nous communiquer les dimensions de votre photo ancienne.
La description de votre oeuvre Veuillez nous communiquer tous les éléments en votre possession concernant la provenance : - Achat en vente aux enchères, chez un antiquaire, succession, don… - Le titre de l’oeuvre - Les expertises déjà réalisées (assurance, héritage) - Tous éléments susceptible de nous aider dans l’évaluation
Les photos de votre oeuvre Pour permettre à nos experts de vous communiquer une estimation réaliste, quelques conseils pour prendre les photos de votre oeuvre : - Prendre votre photographie ancienne de face - La signature en plan large - Des détails de votre photo ancienne. - Le dos de la photo et toutes mentions manuscrites et étiquettes d’expositions.
Restaurations anciennes L’état de conservation est un élément essentiel d’appréciation d'une photographie de collection.
• Comment sont déterminées les estimations de mes photographies anciennes ?
Notre spécialiste va estimer votre photo en la comparant dans un premier temps à des oeuvres similaires déjà présentées et vendues dans une vente aux enchères en France.
Puis avec l’ensemble des éléments fournis (nom de l’artiste, présence d’une signature, dimensions de l’oeuvre, état de conservation), nous pourrons analyser votre photographie sous 48h, vous recevrez par mail une première estimation gratuite de vos objets d’art et de collection. Nos spécialistes ont bien évidemment une parfaite connaissance des mécanisme du marché de l’art.
• Dois-je me déplacer avec mes photos pour obtenir une estimation ?
Dans un premier temps, faites nous parvenir le formulaire d’estimation gratuite en ligne pour une évaluation confidentielle de vos photgraphies anciennes dans les plus brefs délais.
Envoyez-nous vos photos à partir de votre ordinateur ou de votre téléphone.
Si vos photos sont trop nombreuses ou trop lourdes, envoyez nous directement votre demande en cliquant sur ce lien
• Quel est le coût d'une estimation d’une photographie ancienne ?
L’estimation de vos photos anciennes anciennes est totalement gratuite mais il ne vous sera délivré aucun document écrit.
Les valeurs communiquées sont donc indicatives et elles ne peuvent, en aucun cas, être reproduites, diffusées ou utilisées à toutes fins. D’autre part, cet avis est donné sous réserve d’une expertise visuelle des objets d’art concernés.
Demande d'expertise gratuite
Comment faire expertiser gratuitement mes photographies anciennes ?
Pour confirmer l’estimation qui vous a été communiquée par mail par notre service d’estimation, il faut procéder à l’analyse visuelle de vos photos.
• Comment notre expert réalise t’il l’expertise visuelle d’une collection de photographies ?
L’expert doit s’appuyer sur une documentation spécifique : catalogues raisonnés de chaque artiste, publications universitaires, travaux de recherches, catalogues de vente aux enchères. Parfois, un déplacement dans une fondation, dans une bibliothèque s’avère nécessaire pour consulter des ouvrages rares (Fonds patrimoniaux).
Il peut également consulter les sources disponibles sur Internet sur les bases de données des musées nationaux, des galeries d’art ou des fondations étrangères.
• Dois-je me déplacer avec mes photos anciennes anciennes pour faire procéder à une expertise ?
Nous pouvons vous recevoir chaque jour sur rendez-vous à notre bureau pour une expertise gratuite et confidentielle.
Si vous ne pouvez pas vous déplacer ou transporter les oeuvres concernées, nous pouvons nous charger du transport des oeuvres.
Nous pouvons également effectuer un déplacement à votre domicile (sous conditions).
• Comment faire authentifier mes photos anciennes de collection ?
Notre expérience du marché, la parfaite connaissance des procédures d’authentification nous permettent d’authentifier les oeuvres soumises et obtenir auprès des ayants droits les certificats nécessaires à la mise en vente de vos photos anciennes.
N'hésitez pas à nous contacter afin de assister pour l'expertise et la mise en ventes de vos albums de photographies.
Demande d'estimation gratuite
- Comment vendre au meilleur prix mes photos, mon daguerreotype ?
Artexpertise.fr la réference de l'estimation gratuite en ligne se tient en permanence à votre disposition, pour expertiser gracieusement et en toute confidentialité les photographies anciennes que vous souhaitez vendre. Assisté de l'équipe de commissaires-priseurs et d'experts partenaires, il vous propose un service d'estimation personnalisé dans une vingtaine de spécialités et peut répondre chaque jours à toutes vos demandes en utilisant le formulaire en ligne de demande d'estimation gratuite. Après évaluation, nous pourrons vous proposer une solution adaptée pour vendre vos tableaux, vos antiquités et vos objets d'art dans les meilleures conditions. • Première étape : Demandez une estimation préalable de vos biens, d'après photographies. Pour réaliser une estimation gratuite, veuillez utiliser le formulaire en ligne de demande d'estimation gratuite
• Deuxième étape : Dépôt des oeuvres pour expertise approfondie. Si vous prenez la decision de nous confier à la ventes les objets estimés, une expertise visuelle s'impose, avant. Pour cela, il vous suffit de déposer les objets à notre bureau.
• Troisième étape : Mise en vente aux enchères de votre objet d'art et de collection. Une fois l'expertise réalisée, nous déterminons une date de vente, en fonction du calendier des ventes aux enchères à venir.
Vente de vos photographies anciennes
Liste des photographes, calotypistes et daguérreotypistes que nous recherchons en permanence :
Julien Vallou de Villeneuve, Horace Vernet, Louis Vignes, Auguste Salzmann, Henri Victor Regnault, Oscar Gustave Rejlander, Charles Reutlinger, Jules Richard, Pierre-Ambroise Richebourg, Cornelius Robert, Louis-Rémy Robert, Jules Robuchon, Dominique Roman, Mary Rosse, Giacomo Rossetti, Pierre Rossier, Louis Rousselet, Vittorio della Rovere, Gabriel de Rumine, Étienne-Jules Marey, Frédéric Martens, Adolphe-Charles Marville, Léon-Eugène Méhédin, Auguste Mestral, Séraphin Guillot Saguez Médéric Mieusement Félix-Jacques Moulin Joseph-Philibert Girault de Prangey, André Giroux, John Beasley Greene, Jean-Baptiste Louis Gros, Emile Gsell, Frédéric Flachéron, René Dagron, Louis De Clercq, Celestino Degoix, Édouard Delessert, Charles Desavary, André Adolphe, Eugène Disdéri, John William Draper, Maxime Du Camp, Jean-Eugène Durand, Jean Louis, Marie Eugène Durieu, Édouard Baldus, Hippolyte Bayard, Antonio Beato, Felice Beato, Auguste Belloc, Bisson Frères, Auguste-Rosalie Bisson, Louis-Auguste Bisson, Louis Désiré Blanquart-Evrard, Félix Bonfils, Bruno Braquehais, Adolphe Braun, Louis Alphonse de Brébisson, Domenico Bresolin, Giacomo Brogi, Jacques-Ernest Bulloz, Louis Buvelot Olympe Aguado, Gioacchino Altobelli, James Anderson, Ottomar Anschütz, Hippolyte Arnoux, Eugène Atget, Edouard Baldus, Flacheron Nadar Le Secq, De brebisson, Hippolyte Bayard, Gustave de beaucorps, Louis Blanquart - Evrard, Auguste Bisson, Allfred Briquet, Claude Charnay, Eugène Cuvelier, Alphonse Delaunay, Alexandre Delessert, Maxime Ducamp, Louis Du val comte du Manoir, John Beasley Greene, Louis Humbert de Molard, Eugène Le Dien, Gustave Le Gray, Georges Demeny, Camille Silvy, Felix Teynard, Charles Négre, Auguste Salzmann, Eugène Piot, Charles Marville, Jules Etienne, Marey Nadar, Henri Cartier-Bresson, Germaine Krull, André Kertesz, Robert Doisneau, Man Ray, René Jacques, Alphonse Delaunay, Brassaï, Lerebours Alfred, Nicolas Normand, Emile Pécarrère, Jean Baptiste Piot, Victor Prévost, Henri Victor Régnault, Auguste Salzmann, Pierre Varin, Auguste Vacquerie, Eugène Varin, Joseph Vigier, Louis Vigne, Eugène Le Dien, Aimé Civiale, Eugene Cuvelier, Olympe Aguado, Leon Méhédin, Ernest Benecke, Francis Wey, Gustave Le Gray, Adrien Tournachon, Paul Nadar Jules, Etienne mare, Georges Demeny, Adrien Tournachon, Paul Nadar, Alfred Stieglitz, Caméra Work, Daguerre Hippollyte Fizeau, Vincent Chevalier, Charles Winter, Adam Salomon, Charles Niepce, Olivier Mestral, Baron Gros, Maurice Tabard, Edward Steichen, August Sander, Man Ray, Pierre Dubreuil, Edward Curtis, JAmes Robertson, Felice Beato, Roger Fenton, Eugène Piot, Henri Victor Regnault, Alfred Nicolas, Normand Louis, Auguste Martin, Auguste Vacquerie ...
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