Alberto Giacometti Estimation et cote | Expertise gratuite de votre sculpture
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Info : Faire expertiser, estimer gratuitement un bronze, une lampe, une sculpture, un luminaire de Alberto Giacometti
Alberto Giacometti l'un des sculpteurs les plus importants du XX siècle. Son travail est influencé par le cubisme , le surréalisme et les questions philosophiques sur la condition humaine , ainsi que par l'existentialisme . Il est né à Borgonovo, dans le canton des Grisons, en Suisse, le 10 octobre 1901.Sous l'influence de son père Giovanni Giacometti , peintre postimpressionniste, il fait ses débuts en peignant des portraits de famille. Il étudie à l'école des Beaux-Arts de Genève et part le 9 janvier 1922 pour Paris où il fréquente l'atelier d'Antoine Bourdelle. Giacometti découvre l'art africain, le cubisme et la statuaire grecque et s'en inspire pour ses premières oeuvres. Il emménage avec son frère en 1927 dans le 14ème arrondissement, rue Froidevaux et expose ses premières oeuvres au salon des Tuileries, cette année là.
Il adhère ensuite au mouvement surréaliste mené par André Breton mais rompt avec celui-ci en 1935. Lors de la seconde Guerre Mondiale, il s'expatrie à Genève et, n'ayant plus d'atelier, il fait des sculptures entrant dans des boîtes d'allumettes.
Parallèlement à son travail de sculpteur, Alberto Giacometti débute à partir de l’année 1929 la réalisation d’objets décoratifs (lampe de table, lampadaires, appliques, vases).
C’est par l’intermédiaire du peintre André Masson qu’il obtient sa première commande pour le bureau du banquier Pierre David-Weill. Il crée un premier bas-relief en bronze très proche des sculptures surréalistes qu’il réalise à l’époque et une paire de chenets en forme de chiens.
La véritable implication de Giacometti dans le monde des arts décoratifs se développe réellement à partir de sa rencontre avec le décorateur Jean-Michel Frank avec qui il collabore régulièrement tout au long des années 1930.
En 1949, le sculpteur épouse Annette Arm et revient à Paris. Il recherche dès lors « l'essentiel » dans ses oeuvres et enlève tout le superflu de ses sculptures. Giacometti obtient ainsi une certaine renommée qui lui permet d'exposer ses sculptures à la Tate Gallery de Londres.
En 1962, l'artiste remporte le grand prix de sculpture de la Biennale de Venise. Il meurt le 11 janvier 1966, à la suite d'un cancer, à l'hôpital de Coire en Suisse.
Quelques objets décoratifs réalisés par Alberto Giacometti :
Lampe Flambeau (petit modèle) (c.1934)
Lampe Grecque (grand modèle) (c.1937)
Bronze à patine marron et vert
Lampe modèle "étoile" (c.1933-1934)
Bronze à patine marron
Lampe modèle "tête" (c.1933-1934)
Lampe modèle trépied à feuilles, première version (1937)
Lampadaire modèle Femme (c.1933-1934)
Lampadaire modèle Osselet (c.1936)
Lampe coupe aux deux figures (c.1950)
Lampadaire, modèle dit trompette (c.1930)
Lampadaire surréaliste (c.1934)
Bibliographie :
L. D. Sanchez, Jean-Michel Frank & Adolphe Chanaux, Éditions du Regard, Paris, 1980, reproduit p. 204 M. Butor, Diego Giacometti, Adrien Maeght Editeur, Paris, 1985, reproduit en noir et blanc p. 125 D. Marchesseau, Diego Giacometti, Hermann, Paris, 1986, reproduit en couleur p. 11 (un autre exemplaire) F. Francisci, Diego Giacometti, Catalogue de l'oeuvre, vol. I, Eolia, Paris, 1986, p. 115, reproduit en noir et blanc p. 30 L. D. Sanchez, Jean-Michel Franck & Adolphe Chanaux,Editions du Regard, Paris, 1997, reproduit en noir et blanc pp. 115 et 250 F. Baudot, Diego Giacometti, Editions Assouline, Paris, 1998, p. 77, reproduit en couleurs pp. 34 et 77 (un autre exemplaire) C. Boutonnet, R. Ortiz, Diego Giacometti, Les Éditions de l'Amateur, Paris, 2003, reproduit en couleurs p. 34 (un autre exemplaire) Berne, Kunstmuseum, Hommage an E.E.K, Meisterwerke von Giovanni, Alberto und Diege Giacometti aus der Sammlung von Eberhard W. Kornfeld, 2003, reproduit p. 93 du catalogue d'exposition P.-E. Martin-Vivier, Jean-Michel Frank, l'étrange luxe du rien, Norma, Paris, 2006, reproduit en noir et blanc pp. 143, 198 et 250 Paris, Musée National d'Art Moderne, Centre Georges Pompidou, L'Atelier d'Alberto Giacometti – Collection de la Fondation Alberto et Annette Giacometti, octobre 2007 – février 2008, reproduit en noir et blanc au catalogue d'exposition p. 409
© Succession Alberto Giacometti
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Alberto Giacometti l'un des sculpteurs les plus importants du XX siècle. Son travail est influencé par le cubisme , le surréalisme et les questions philosophiques sur la condition humaine , ainsi que par l'existentialisme . Il est né à Borgonovo, dans le canton des Grisons, en Suisse, le 10 octobre 1901.Sous l'influence de son père Giovanni Giacometti , peintre postimpressionniste, il fait ses débuts en peignant des portraits de famille. Il étudie à l'école des Beaux-Arts de Genève et part le 9 janvier 1922 pour Paris où il fréquente l'atelier d'Antoine Bourdelle. Giacometti découvre l'art africain, le cubisme et la statuaire grecque et s'en inspire pour ses premières oeuvres. Il emménage avec son frère en 1927 dans le 14ème arrondissement, rue Froidevaux et expose ses premières oeuvres au salon des Tuileries, cette année là.
Il adhère ensuite au mouvement surréaliste mené par André Breton mais rompt avec celui-ci en 1935. Lors de la seconde Guerre Mondiale, il s'expatrie à Genève et, n'ayant plus d'atelier, il fait des sculptures entrant dans des boîtes d'allumettes.
Parallèlement à son travail de sculpteur, Alberto Giacometti débute à partir de l’année 1929 la réalisation d’objets décoratifs (lampe de table, lampadaires, appliques, vases).
C’est par l’intermédiaire du peintre André Masson qu’il obtient sa première commande pour le bureau du banquier Pierre David-Weill. Il crée un premier bas-relief en bronze très proche des sculptures surréalistes qu’il réalise à l’époque et une paire de chenets en forme de chiens.
La véritable implication de Giacometti dans le monde des arts décoratifs se développe réellement à partir de sa rencontre avec le décorateur Jean-Michel Frank avec qui il collabore régulièrement tout au long des années 1930.
En 1949, le sculpteur épouse Annette Arm et revient à Paris. Il recherche dès lors « l'essentiel » dans ses oeuvres et enlève tout le superflu de ses sculptures. Giacometti obtient ainsi une certaine renommée qui lui permet d'exposer ses sculptures à la Tate Gallery de Londres.
En 1962, l'artiste remporte le grand prix de sculpture de la Biennale de Venise. Il meurt le 11 janvier 1966, à la suite d'un cancer, à l'hôpital de Coire en Suisse.
Quelques objets décoratifs réalisés par Alberto Giacometti :
Lampe Flambeau (petit modèle) (c.1934)
Lampe Grecque (grand modèle) (c.1937)
Bronze à patine marron et vert
Lampe modèle "étoile" (c.1933-1934)
Bronze à patine marron
Lampe modèle "tête" (c.1933-1934)
Lampe modèle trépied à feuilles, première version (1937)
Lampadaire modèle Femme (c.1933-1934)
Lampadaire modèle Osselet (c.1936)
Lampe coupe aux deux figures (c.1950)
Lampadaire, modèle dit trompette (c.1930)
Lampadaire surréaliste (c.1934)
Bibliographie :
L. D. Sanchez, Jean-Michel Frank & Adolphe Chanaux, Éditions du Regard, Paris, 1980, reproduit p. 204 M. Butor, Diego Giacometti, Adrien Maeght Editeur, Paris, 1985, reproduit en noir et blanc p. 125 D. Marchesseau, Diego Giacometti, Hermann, Paris, 1986, reproduit en couleur p. 11 (un autre exemplaire) F. Francisci, Diego Giacometti, Catalogue de l'oeuvre, vol. I, Eolia, Paris, 1986, p. 115, reproduit en noir et blanc p. 30 L. D. Sanchez, Jean-Michel Franck & Adolphe Chanaux,Editions du Regard, Paris, 1997, reproduit en noir et blanc pp. 115 et 250 F. Baudot, Diego Giacometti, Editions Assouline, Paris, 1998, p. 77, reproduit en couleurs pp. 34 et 77 (un autre exemplaire) C. Boutonnet, R. Ortiz, Diego Giacometti, Les Éditions de l'Amateur, Paris, 2003, reproduit en couleurs p. 34 (un autre exemplaire) Berne, Kunstmuseum, Hommage an E.E.K, Meisterwerke von Giovanni, Alberto und Diege Giacometti aus der Sammlung von Eberhard W. Kornfeld, 2003, reproduit p. 93 du catalogue d'exposition P.-E. Martin-Vivier, Jean-Michel Frank, l'étrange luxe du rien, Norma, Paris, 2006, reproduit en noir et blanc pp. 143, 198 et 250 Paris, Musée National d'Art Moderne, Centre Georges Pompidou, L'Atelier d'Alberto Giacometti – Collection de la Fondation Alberto et Annette Giacometti, octobre 2007 – février 2008, reproduit en noir et blanc au catalogue d'exposition p. 409
© Succession Alberto Giacometti |
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